L'épopée de Nestua Zenkui

Citation :

L’histoire n'est pas encore fini mais patience ça viens !!

Nom : Zenkui
Prénom : Nestua
Age : 27ans
Poids : 72Kg
Taille : 1m 95
Caractéristiques physiques : Longs cheveux noirs, musclé, plutôt grand, un peut maigre, agile, habile et rapide.
Psychologies : Calme, plus ou moins amicale, persévérant, neutre/chaotique-bon.
Aime : Les pommes, les courses, les combats à mort.
N’aime pas : Les poires, les araignées, les bancs trop petit (Da Fu ?)
Histoire

Chapitre 0
Louise et Eric

Tout commença il y a 30 ans dans un village portuaire insignifiant, où vivait une jeune fille, elle était belle et gracieuse, ses cheveux longs et bleus la fessaient ressortir des autres jeunes filles du village, ses yeux bleus azur reflétaient le ciel tels de l’or qui brille... Elle se nommait Louise. C’était la fille du maire du village : Messire Jaque de La Valère. Mais un jour, en plein printemps, un nuage de poussières se fit voir au loin…C’était un groupe de bandit qui chargeait sur le village, mais malheureusement, les habitants ne le comprirent que bien trop tard pour pouvoir fuir… Les habitants furent massacrés et capturés. Les hommes furent vendus comme esclave et certaines femmes furent gardées par les bandits pour accomplir leur désires.

Louise faisait partie des malheureuses à être restées avec les bandits et, malheureusement pour elle, elle était un peut trop belle… elle fut choisie pour être la favorite. Chaque soir, elle ressue au moins 5 bandit dans sa cellule .Un jour, elle fut vendue comme esclave en tant que servante dans une auberge de luxe. Et bien évidement, le même scénario que pour les bandits recommença mais cette fois ci, avec les nobles. Le jour de ses 21 ans, elle essaya de s’échapper mais elle se fit rattraper par la milice et envoyer en prison. Et la même misère recommença…MAIS ! Un jour, un nouveau détenu arriva, il se nomma Eric Zenkui. Il avait les cheveux long et noir ainsi que les yeux rouges, il avait un air fier et courageux.

Il était le chef d’un groupe d’assassins nommé « La main de l’ombre ».Un jour, alors qu’il était parti avec trois de ses hommes pour repérer la zone dans la quelle ils s’étaient arrêtés, ils entendirent des cris venants du camp, c’était des soldats en patrouille qui les avaient pris pour des bandits, il combattit les soldats avec ses hommes mais en vin… Il se fit assommer puis capturer et envoyer en prison. Il fut la seule personne à avoir protégé Louise des autres détenues qui voulaient profiter d’elle à grand coup de pioche. Louise tomba amoureuse d’Eric assez rapidement et vice versa …
C’est de leur amour que je suis né…

Chapitre 1
L’émeute (0 à 9 ans)

Je suis né dans cette prison…cette prison qui m’apprendra la vie dure qu’est celle d’un prisonnier pendant 9 ans…9 ans de vie de misère et de travaux forcés pendant les quelles je vis des dizaines de personnes mourir d’épuisement, de fouettage ou même pendant une dispute entre détenue . C’est en secret que mon père m’apprit à me battre a main nue, j’avais appris à me faire respecté des autres détenue (Mon père était considéré comme le chef, celui qui ne fallait absolument pas faire chier).

Un soir d’hiver, il y eu une grande émeute dans la prison, il y avait des centaines de morts de tout les cotés autant chez les gardes que chez les détenus. Nous en avons profité pour nous échapper, mon père avait attrapé deux pistolets qu’il utilisait pour éliminer les gardes qui nous barraient la route (l’avantage, c’était que le boucan de l’émeute masquait le bruit des balles). Nous étions enfin arrivé à la sortit de la prison, (c’était la première fois que je voyais la lune) et c’est à ce moment la qu’une escouade qui était arrivé en renfort débarqua et tenta de nous arrêter. Mon père pris ses armes et commença à éliminer les soldats pendant que ma mère et moi-même enfuyions. Nous n’avons pas eu le courage de regarder en arrière, le simple faite de ne plus entendre de coups de feux nous a mis la puce a l’oreille…

Nous avons réussi a nous cacher non loin d’une route dans les bois mais… une autre patrouille qui était envoyé vers la prison nous vis dans notre semi cachette… Ma mère m’a dit de m’enfuir avant de se faire tuer…

Chapitre 2
Les bois (9 à 14 ans)

J’ai courus dans les bois pour sauver ma vie… J’ai courus des heures jusqu'à arrivé à un lac, un magnifique lac… il était tellement sublime qu’il reflétait les étoiles comme si elles étaient directement dans le lac…Je me suis reposé sur un rochet qui bordait le lac. Je n’ai pas pleuré, père n’aurais pas aimé voir son enfant dans un tel état, il aurait même voulut me voir sourire a ce moment… Pourquoi ? Tout simplement parce que nous étions libre, libéré de ces froid murs de pierre qui nous interdisais toute liberté, libéré de ces gardes tyrannique qui n’hésitais pas a nous exécuté si l’envi leur venais… C’est ce que j’ai fais, j’ai souris… j’ai souris et j’ai même rit. Certes j’étais triste d’avoir perdu mes parents, mais cela me fis un bien fous de pouvoir respiré un air libre…

Le lendemain, j’étais partit chercher de quoi me rassasié. Je suivis un chemin aléatoire dans la forêt. Plusieurs plutard, je fini par arrivé devant une cabane délabré. Je m’approchai donc lentement et prudemment de la bâtisse avant de découvrir qu’elle était belle et bien inhabité. Je fouillai la cabane de fond en comble avant de tomber sur deux choses intéressantes : La première était un coffret avec deux pistolets ainsi qu’un grand sac de balle. Sur le moment je me souvenais avec difficulté que mon père m’avais parlé de ça, je les pris donc en me disant que ça pourrais m’être utile un jour. Le second était un grand sac de pièce, il y en avait pour une petite fortune mais…à l’époque je ne connaissais pas vraiment l’argent… Je me souvenais juste que mon père m’avait parlé de ça à une époque. Je pris donc le butin et continua de chercher jusqu’à trouvé de quoi manger. Il y avait quelques fruits cachés dans un placard, c’est avec doute et méfiance que je pris ma toute première boucher de fruit… C’était délicieux ! Je dégustai les aliments en un éclair, ce qui me rasseyait  suffisamment pour continuer mon périple.
Plusieurs jours plus tard, j’étais revenu au lac sans m’en rendre conte. J’installai donc un camp provisoire dans le quelle je m’entrainais au tire. J’étais vraiment médiocre… Pendant 5 ans je vécus une vie d’enfant sauvage, j’appris le langage des arbres et des créatures de la forêt, le combat dans des zones denses, etc…

Chapitre 3
Cher les hommes (14 ans)

Un jour, alors que je faisais la sieste près du lac, je me suis fais réveillé par un groupe de marchant qui c’étais arrêté de l’autre coté du lac. C’était la première fois en 5 ans que je revis des humains ! Me remémorant difficilement leur race, je m’approchai d’eux avec prudence. Quand ils me vivent, ils avaient l’air surpris de me voir. Bien sur je leur ai demandé de me dire qui ils étaient mais ils parlaient un dialecte étranger au mien. Voyant que je n’avais pas l’air de comprendre leur langage, ils m’ont fais signe de monté dans leur caravane… Alors, idiot et curieux comme j’étais je me suis laissé pris au jeu et je suis donc monté. Ils ont continué leur trajet jusqu’au village le plus proche… C’était la première fois que je vis un village humain. Nous étions arrivés  sur la place du marché, et ces idiot on essayé de me roulé en essayant de me vendre comme esclave…ils m’ont fais monté sur sellette et on essayé de me faire passé pour un esclave…Ils auraient réussis si ils n’auraient pas eux la mauvaise idée de parler en langage courant… Quand j’ais compris ce qu’ils voulaient, j’ai saisis mes pistolets et ai tiré une balle dans la tête de chaque marchant avant de m’enfuir en sautant sur tout ce qui pouvais me servir d’appuis. J’étais recherché dans le village toute la journée. Le soir venu, je me suis réfugié dans un entrepôt isolé et fouillé juste avant.
Alors que j’allais m’endormir, un étrange vieille homme étais sortit de nul pars. Je me suis relevé d’un coup sec et ai sortit mes armes avant des les pointés sur lui… Alors il me dit :
« -Oulla ! Calme-toi gamin…dit il en s’approchant de moi d’un pas lent.
-Reculez ! Et qui êtes vous ! Lui dis-je en maintenant mes armes pointé sur sa tête. »
Il me répondit d’un simple sourire avant de me charger dessus. Au moment même où je le vis bougé, j’ai tiré deux balles en direction de sa tête. J’ai crus que je l’avais touché…avant de voir l’impacte de l’autre coté de la pièce ainsi qu’un point dans l’estomac.
« Joli tire, mais trop lent… »Me dis-il avant que je ne m’écroule sur le sol. Quand je me suis réveillé, j’étais dans un lit dans ce qui ressemblait à une maison. Les rideaux cachaient les fenêtres fermer, la pièce étais éclairé par quelque bougies posé par si par la, le bureau étais remplis de papier, les murs étais décorés de portrait assez anciens et le vieille homme se tenait assit sur une chaise. Quand il vit que j’étais réveillé, il me tendait un verre d’eau et me dit:
« - Tu n’es pas un mauvais tireur tu sais…
-… Merci…lui dis-je en prenant le verre d’eau d’un air méfiant.
- Tu à bien grandis depuis tout ce temps… Nestua Zenkui…
- Hein ? Comment… connaissez-vous mon nom ?
- Tu ne te souviens pas de moi ? C’est moi, Nato Rama, a la prison.
- Nato… VOUS ÊTIEZ LE BRAS DROIT DE MON PERE ?!
- En personne ! Me dit-il en souriant.
- Comment avez-vous survécus à l’émeute ? »
Il me répondit d’un simple rire. Les heures passais et nous continuâmes à parler. Jusque au moment où il me parla d’un ordre d’assassin, les « Shadow King ». Il me proposa de devenir son apprenti a condition de faire partit de l’ordre. A vrais dire, je n’avais pas trop le choix… Je ne pouvais qu’accepter l’offre.

Chapitre 4
Les rois des ombres. (14 à 23 ans)

J’ai accepté de rejoindre l’ordre, après tout, je n’avais pas de but précis a ce moment. Nous somme resté une semaine dans le village, l’histoire de m’apprendre certaine chose sur le monde urbain. La semaine étant passée, nous avons quittés le village pour aller en direction des montagnes afin de rentré dans le QG de l’ordre. Trois jours après notre dépars, nous étions enfin arrivé… L’entré étais un trompe-l’œil magique en forme de mur de pierre naturel qui ne pouvais être traversé uniquement par un membre de l’ordre. Une fois traversé, nous étions arrivé dans une grande salle relativement sombre remplit de tapisserie rouges sombres ainsi que de table de taverne où étais assis de nombreux homme et femme avec une étrange tenue noir avec des files d’or. Ils saluaient Nato et me regardais d’un visage méfiant voir hostile. Nous avançâmes dans les couloirs de l’ordre avant d’arriver à une grande porte noir orné de symboles tousse plus étranges les uns que les autres. La porte s’ouvrit lentement dans un gigantesque grincement afin de dévoiler une sorte d’énorme salle du trône.  Des bannières étaient accrochées aux piliers portant le plafond de la salle.  Cinq hommes avec le visage recouvert étais présent a chaque cotés de la salle et au fond de cette dernière, un grand escalier d’environs 100 marches étais présent avec a son sommet un homme avec les cheveux rouges sombres et un œil borné siégeais sur un trône en forme d’araignée. Il s’agissait du maitre de l’ordre. Il se leva de son siège et dit :
« -Ha ! Nato ! Te voila enfin ! Je commençais a me demandé si tu allais nous revenir vivant ! A tu éliminé le sénateur ? Dit-il avec le sourire.
-Oui maitre, et j’ai fais en sorte de ne laissé aucune trace de notre existence bien évidement.
- Parfais ! Tu mérite donc ta paye ! Dit-il avant de lancer un sac de pièces bien remplis. Mmmm… je vois que tu as ramené quelqu’un… Approche petit, dit moi, qui est tu ? Me dit-il avec une voix un peut plus grave et plus stressante.
-Je suis Nestua Zenkui messire. Répondis-je d’un ton sur. Je suis venue afin de faire partit de votre ordre. »
Sur ces mots, le maitre se mis à rire…
« -Tu pense qu’un enfant comme toi peut vraiment devenir un assassin ? La simple vue du sang te ferait prendre tes jambes à ton cou ! »
Je l’interrompis en tirant une balle sur une ornementation de métal qui ricochât en direction d’un des hommes présent dans la pièce. Ce dernier réussi a l’évité sans problème. Sur cette action, le maitre dit commença à charger quelque chose dans  sa main, c’étais un sort de boulle d’énergie arcanique qu’il envoya dans mas direction. Je me la pris de plein fouet, ce qui m’envoya a l’autre bout de la pièce.
« -Je dois avouer que je me suis trompé sur ton conte gamin… tu a bien plus de couille que je ne le pensais … Nato, attend dehors je te pris.
-Bien maitre.
-Bien… »
Il descendit les marches à une vitesse normale tout en m’aspergeant de rafale de sorts  (Boules de feu, lances de glace, sphères électrique, etc.…)   une fois a la dixième marche, il m’attrapas avec un lassos d’énergie magique et m’écrasas sur les murs et le sol de plein fouet. Il continua pendant 5 minute a m’envoyé de nombreuses attaques de toute sorte. Au bout d’un moment, il dit :
« -Tu es résistant dis moi…
-Arrrgh…*cris de douleur*
-Pourquoi tien tu tant que ça à rejoindre nos rend ?
-Parce que…c’est…la seul cho…chose que… que je…puisse faire pour le…mo…moment…. »
A ces mots, il explosât de rire puis revint a la normal. Il me fixât un moment avant de retourner à son siège. Il fit un geste de la main avant que deux des hommes présent viennent me ramassé et m’amené dans ce qui ressemblais a une infirmerie. Je dormis pendant une semaine m’a-t-on dit. A mon réveille, mes blessure étais soignés mais la douleur était toujours présente. Nato étais directement venue me dire qu’il fallait que je retourne a la salle du trône. C’est ce que j’ai fais. Une fois de retour dans la pièce où je me fis massacrer, le maitre se leva de nouveau et dit :
« -Tien ? Tu es encore en vie donc ? Je dois avouer que je suis étonné…
-Il en faut plus pour m’abattre.
-Hahahaha ! Tu a du culot, ça me plais… Il s’arrêta un moment puis repris. Je pense que je n’ai plus le choix maintenant… Tu as survécus a mes attaques, donc tu peux passer les testes d’intégration.

Bon Rp, attention aux petites fautes d'orthographes !
Bonne continuation :3

Spécial, mais j'aime aussi !!! La suite !